ÉTAPE 1 : Se rendre compte du problème
Le diagnostic de ma prise de conscience est fort simple : DÉPRESSION POST-VOYAGE.
Chaque retour de voyage est synonyme de "dépression voyagère" pour moi. Manque d’aventure, de nouveaux paysages et de rencontres excitantes. Bref, un retour lamentable au quotidien qui mène directement à un dérivé de la dépression saisonnière, "la dépression voyagère". Voyageant au moins une fois par année je me dois de remédier à la situation et de m'éprendre à nouveau de ma propre ville (enfin, le temps de finir mon BAC au moins.)
ÉTAPE 2 : Attaquer le problème avec positivisme
J’ai décidé de remédier à la situation en me donnant le défi personnel de regarder ma ville : Montréal (et ses environs), avec un tout nouveau regard, celui de touriste. Mon défi : convaincre un ami San Franciscain de venir me visiter, ménager mon budget, agrémenter les jours de pluie et mes balades de bixie. Plusieurs raisons qui me permettront d’ajouter de petites étincelles à mon quotidien déjà assez mouvementé. Étant une éternelle amoureuse de cuisine, d’architecture, de couleurs et de belles rencontres, mon cœur d’artichaut n’attend que d’être séduit !
ÉTAPE 3 : Le début de la thérapie
Je découvrirai quartier par quartier le sol montréalais, à travers des événements que je dois couvrir dans le cadre de mon travail. (À vous de découvrir lesquels !) et aussi en m’obligeant à sortir de chez moi les (rares) jours de cocooning que je me réserve.
Préparez-vous au coup de foudre chers urbains montréalais. Enfin, je l’espère !